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Pour Ghislaine, avec des OUI…C’est L’automne.


C’est l’automne. Vient le temps des CITROUILLES et d’halloween où des petites

FRIPOUILLES viennent toquer à nos portes…Comme d’habitude le temps est en harmonie

avec un BROUILLARD à couper au couteau où tu n’y vois que COUIC… La pluie les

MOUILLE mais cela ne les empêche pas de faire leurs PATROUILLES et de partir en

VADROUILLE.

Tous ces enfants réclament des friandises et sinon nous aurons des CARABISTOUILLES !!! 

Maintenant je ne défile plus et reste à la maison dans ma DOUILLETTE car il fait froid. Je leur

ouvre et ne me dégonfle pas, leur propose un quizz sur les traditions celtiques avec des

récits qui leur fichent la TROUILLE…Mon discours est bien rodé, je ne BAFOUILLE pas et

tous ces PEDZOUILLES ne me distraient pas …J’avais GRIBOUILLE deux ou trois choses

importantes sur mon papier qui n’est pas du BROUILLON pour ne pas oublier l’important.

Ils n’ont pas des BOUILLES patibulaires et voudraient croire que nous avons peur !!!

Juste un a un petit air CHAFOUIN, il s’est déguisé en magicien, mais il a des fausses bestioles

dans ses cheveux qui lui donnent un air un peu POUILLEUX.Il a un chapeau noir pointu sur

lequel il y a des étoiles bleues avec à certains endroits des faux cheveux bleu acier qui

PENDOUILLENT.

Un OUISTITI en peluche sur son épaule pousse des cris si on lui appuie dessus. Je leur

raconte des histoires de sorcières avec des chaudrons où GROUILLENT avant que de

BOUILLIR des crapauds bien baveux et de la BOUILLABAISSE d’insectes divers et variés…

Cela GARGOUILLE et sera bientôt à point.

Je me suis déguisée en Ankou et leur dit qu’une bonne réponse et c’est un salidou, la

mauvaise réponse l’Ankou prendra la faux pour les ZIGOUILLER…

Mais la mienne est en plastique….A moins que la sorcière noire ne les attrape et ne les mette

au COURT-BOUILLON dans son chaudron comme des vulgaires poissons…Ils poussent des

petits cris à mes histoires comme si le diable leur avait fait des PAPOUILLES …

Mon chéri me dit qu’avec tout mon déguisement j’ai l’air d’une véritable ANDOUILLE.

Je leur propose de boire une BOUILLIE verte en leur disant que c’est de la bave de

crapaud, alors que ce n’est que du jus de kiwi. Ils n’osent pas dire non de peur d’être

considérés comme des TROUILLARDS.

Je FOUILLE dans une pochette pour donner la récompense tant attendue. ..Ils ne

rentrent jamais BREDOUILLES mais riches de connaissance, eux qui ne sont pas d’ici

pour la plupart. Certains viennent de chez les BEDOUINS .Ils sont plus habitués aux

MECHOUIS, à la RATATOUILLE, à manger dans des BOUIS- BOUIS que dans des

préaux pour des banquets bien de chez nous. Mais personne ne s’est EVANOUI,

nous avons tous bien ri….

Publié 16 septembre 2012 par korriganebleue35 dans Ateliers divers, essais, Mes poèmes...

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Jeux de vilains….Pour Manik…


Erotisme un peu particulier….

MOTS IMPOSES : AIMER DÉSIRER PRENDRE

EXCLURE

PLAISIR JEUX PARDON DONNER

NUIT DEMAIN RAISON

Cela dépassait la RAISON.

Cet Homme voulait faire croire qu’il avait AIME cette jeune enfant et que tout ceci n’était que des

JEUX totalement innocents. Il n’était pas possible pour lui de demander PARDON car ce n’était pas dans

sa nature, et, de toutes façons, il ne s’était rien passé… Pourquoi s’était – il introduit la NUIT dans la

chambre de cette jeune enfant, sinon parce qu’il l’avait DÉSIRÉ de façon coupable ??? PRENDRE ce

qui était défendu lui DONNAIT un PLAISIR infini, en bon dominateur qu’il était, une proie exposée

ne pouvait qu’être chassée, et, bien sûr,

elle l’avait provoqué, sur son lit offerte

aux regards…Et il n’aurait pas

EXCLU de la violer si quelqu’un n’était

 

 

pas arrivé à temps, entendant ses cris d’effroi. Pour lui ce n’était rien que de faire son éducation…

Mettre ses sales doigts était déjà pour lui un défi accompli, et une extase lubrique l’avait envahi,

peut-être était-il même sur le point de ressentir la « petite mort » que ressentent les mâles une

fois leur acte accompli…Il était en rut…Mais la personne l’avait emmené avec lui et tout semblait retourner

comme avant.

Mais l’enfant se demandait chaque jour si DEMAIN

cela se reproduirait et désormais se bouclait à clef dans sa

chambre….Ceux qui avaient cru voir ou entendre quelque

chose en étaient pour leurs frais et étaient mis au secret

défense. Un tabou qui, quarante ans après, n’était toujours

pas brisé, malgré le cœur de la victime en triste

état comme vous pouvez l’imaginer… De toutes façons

plus de justice possible puisqu’il y avait prescription, alors…

Mumu’s Semaine 41


Retour du château..

Mots imposés:

Verbes :

Hypnotiser, éborgner,

empailler, guérir.

Noms:Piaf, Pouf, Prof, Pif.

Et voilà le résultat !!!! 

Hypnotisée par la musique de Ravi Shankar pour me relaxer,

une bonne odeur de papier de papier d’Arménie à la rose

embaumant la pièce, je m’exerçais à calligraphier un « Bismillah » avec

mon calame, assise sur un POUF. . J’entendais distraitement les cris

stridents des PIAFS,qui, dehors, annonçaient le printemps.

  Tout d’un coup, tout excité, mon neveu surgit dans la salle.

«Tatie, nous rentons d’une excursion au château de la Hunaudaye avec Mamie

Colette et j’ai pu voir tout ce que la PROF d’histoire géo nous avait expliqué

sur le Moyen Âge.»Et il me raconta force détails l’architecture, les pont-levis,

et, surtout, la salle des gardes avec des trophées de chasse EMPAILLÉS au-dessus

de la monstrueuse cheminée.

«-Montjoie! Saint Denys! En garde! », me dit-il,

brandissant une épée médiévale dans ma direction.

« Regarde, c’est Mamie qui me l’a offerte pour mon

anniversaire, comme les vrais chevaliers, avec la perle

rouge au milieu! ». Il tient en effet tellement à

cette épée qu’il l’emmène partout avec lui, fût-ce

aux wawa…

«- mais tu es complètement fêlé de la mansarde, tu vas

finir par ÉBORGNER quelqu’un , et je puis te dire que

quand il faut enlever un œil en bloc opératoire,

ce n’est pas beau à voir. Tu te rends compte de ce

que devraient débourser

tes parents? Viens donc t’asseoir ici, as-tu 16 ans ou 61 mois?».

Mamie se gardait bien de moufter car j’étais franchement en colère, et elle

voyait bien que cela n’aurait servi à rien. Quand je prenais ce ton sévère et

directorial, il ne fallait rien dire.Je me retenais d’en coller une dans le PIF,

, à ce garnement, j’y étais meilleure qu’à l’épée. 

«-Tu ferais mieux d’ouvrir ce paquet, lui dis-je, et pose donc cette épée,

elle ne va pas se sauver !»

Il obtempéra et ouvrit son paquet qui lui permit

de découvrirtrois bouquins de la Coop Breizh

qui expliquaientcomment dessiner les Triskells

au compas etautres armoiries héraldiques

bretonnes.En effet,c’est un excellent dessinateur

et il est tenté par la marqueterie et les

métiers du bois.

«- Tatie, c’est géant, c’est trop top!,

me dit-il avant de me faire une bise

-Et puis c’est quand même moins

dangereux que ton épée…».

Contente de lui avoir fait plaisir, muni de

ses crayons de couleur et du

compas,il finit par s’asseoir sur un

POUF à mes côtés, et, pendant qu’il

découvrait la substantifique moelle

de ses livres, je revenais à mes

moutons. Si j’avais réussi à le poser fût-ce que quelques instants, je

savais que son hyperactivité était loin d’être GUÉRIE et que je devrais

d’ici peu passer à autre chose.

Mais c’était toujours ça de pris pour soulager

ma sœur qui était

bien fatiguée. 

Plaisir d’écrire, essai chez Mumu la grenouille


Essais chez mumu la grenouille

Il n’est pas dans mes habitudes d’écrire sur commande, mais je me suis

quand même lancé le défi proposé par Mumu la grenouille. les mots

imposés étaient donc les suivants :

bistouri ; parasol ;  menhir ;  mitraillette ; tricoter ;  plumer ;  titiller ; prédire. 

Et voici donc le boulot:Ils nous l’avaient prédit, qu’il ferait beau. Je me mis donc à tricoter sur la

terrasse, sous un parasol, d’où j’avais une vue magnifique sur le champ de menhirs de Kermario.

Ne voilà-t y pas qu’une saleté d’insecte se mit à me titiller les pieds, moi qui, allergique avais une

peur bleue de leurs piqûres!!! Malgré mes cris, mon chéri, tranquille, avec son couteau qu’il maniait

tel un bistouri, plumait le poulet que nous avions acheté le matin au marché. Ma fille, très fière

de la scène rigolait et shootait avec sa mitraillette photographique, qui, malheureusement ne

prenait pas le son…Puis notre insecte repartit comme il était venu. Que d’émotions….

Je n’ai pas osé présenter mon texte , mais une prochaine fois peut-être…..

Publié 5 février 2012 par korriganebleue35 dans Ateliers d'écriture MUMU, Mes poèmes...

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